Herrenstraße | Annerschbarrich

„Herrenstraße“

Mit 22 % Gefälle

die steilste Stadtstraße.

In der Herrenstraße wohnten

die Fuhrherren. Mit dem Bergbau

entwickelte sich im Oberharz ein Fuhrwesen,

das in damaliger Zeit einen Umfang annahm, von

dem wir uns heute kaum noch einen Begriff machen

können. Die alten konzessionierten, pensionsberechtigten

Bergfuhrherren waren angesehene und wohlhabende Leute, die

Tag für Tag dem Berg- und Forstfiskus mit einer stattlichen Anzahl von

Pferden dienten und in Sankt Andreasberg in der nach ihnen benannten Straße

ihre Häuser hatten. Bergstadtverein St. Andreasberg | Text auf „Dennert-Tanne“ in der

Herrenstraße, St. Andreasberg.

Alle reden vom Wetter …

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Max Baur: Auf der Waldwiese, Verlag Max Baur, Wernigerode 1963.

Der Oberharz hat kalte, schwere und neblichte Luft und daher einen sehr schnellen Wechsel der Temperatur. So weit das Nadelholz vorherrscht, liegt der Schnee acht Wochen im Jahre länger, als da, wo das Laubholz anfängt. Das Heizen der Stuben dauert auch im Sommer fort; die heißen Stuben gewähren dem Bergmann ein Schwitzbad, welches oft die häufigen Erkältungen unschädlicher macht. Engbrüstigkeit, Gicht, Auszehrung , Koliken sind häufige, auch durch die Art der Arbeiten hervorgebrachte, Uebel; weit besser befinden sich die Wald- und Kohlenarbeiter und die Fuhrleute, von denen viele ein hohes, kräftiges Alter erreichen.

Der Frost dauert bis zum Ende Mays, der kurze, oft glühende, Sommer kaum sechs Wochen; auf diesen folgt gewöhnlich vier Wochen lang ein angenehmer Herbst, welcher den Mangel des Frühlings ersetzt. Oft gehen die Winter zu reißenden Stürmen über, welche ganze Tannenwälder niederzuwerfen vermögen; Gewitter bilden sich sichtlich an den Spitzen der Berge, oft von starken Regengüssen begleitet.

Ist die Oberfläche des tiefen Winterschnees erst hart gefroren, so folgt, besonders auf den Plateaus, ein klares und heiteres Wetter, und die Verbindung der Menschen durch Schlitten wird lebhaft, welche über Flüsse und Tiefen weggleiten. In höheren Gegenden werden dann selbst die Häuser unter dem Schnee begraben.

In Klausthal baut der Harzknabe Bastionen von Schnee auf den Dächern und unsichtbar hinter denselben wirft er auf die Vorübergehenden mit Schneebällen. In Andreasberg höhlt man bei tiefem Schnee Gänge aus, wodurch die Verbindung mit den Nachbarn erhalten wird. Dann kann man auf gefrorenen Schneeflächen den Brocken von allen Seiten besuchen; die Spitzen der Tannen ragen, wie niedrige Gesträuche, aus dem Schnee hervor und man ist in Gefahr, das Brockenhaus nicht zu sehen, auf dessen mit Schnee bedecktem Dache man vielleicht schon steht.

Aber ein dichter Nebel folgt dem klaren Winterwetter, wenn die gemilderte Luft das Auftauen des Schnees vorbereitet. Dann schwellen die Harzbäche zu Strömen an und hemmen da die Verbindung, wo man im Sommer vielleicht vergeblich, einen Fluß sucht. Wer an Rheumatismen leidet, darf nicht auf den Harz ziehen; allein der geborene Harzer kann bei mäßiger Lebensart ein hohes, kräftiges Alter erreichen.

Sonne, Heinrich Daniel Andreas (1780 – 1832); Allgemeine Beschreibung des Hannover’schen Landes und Staates,  München 1829, S. 83ff.

Die Schnaphahnen

Auf den Wegen zwischen Zellerfeld und Goslar, imgleichen zwischen Clausthal und Osterode verübten die Schnaphahnen, oder Harzschützen, insonderheit vielen Unfug und Grausamkeit. Unter andern lauerten sie fleißig auf die Bergfuhrleute, welchen sie viele Pferde ausspannten, und wegnahmen, so, daß gedachte Fuhrleute zum Theil nicht mehr im Stande waren, ihre Bergfuhren gebührend zu versehen. Der um Zellerfeld liegende Hauptmann  Hoffmann verfolgte danach einstmals diese Schnaphahnen, um ihnen die gemachte Beute wieder abzujagen. Er richtete aber damit nicht mehr aus, als daß sie ihm darauf sehr nachstellten, und nur Gelegenheit, ihn aufzuheben, suchten.
Cuppius.

 

Die Alterthümer des Harzes. Aus Zeugnissen bewährter Schriftsteller größtenteils aber aus ungedruckten Urkunden zusammen getragen von Rudolph Leopold Honemann, Bergschreiber und ersten Bedienten auf der freien Berg-Stadt St. Andreasberg.  Der Erste Theil, welcher die ältesten Geschichten begreift, und sich mit dem funfzehenten Jahrhundert endiget. Clausthal, gedruckt bey Johann Heinrich Wendeborn. 1754. §250. S. 157.

Buntebock, mon petit endroit … mais où est Clausthal?!

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„Mines et Forest du Hartz" aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759, Kupferstich, 24,5 x 35 cm.

„Mines et Forest du Hartz“
aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759, Kupferstich, 24,5 x 35 cm.

„IV. Le Harz. Il a été dit plus haut dans l’introduction à la principauté de Grubenhagen ce qu’est le Harz, pris dans sa signification la plus étendue. Il n’est question ici que de cette partie du Harz, qui appartient à la maison électorale & princiere de Brunsvic- Lunebourg. L’air y est froid, tellement que les rigueurs de l’hiver y durent régulièrement pendant six- mois de l’année. Les brouillards y sont aussi plus fréquents, & les pluies, de même que les neiges, plus copieuses que dans le pays plat. Ceux qui y habitent, n’en atteignent pas moins un âge -aussi avancé que ceux qui demeurent dans la plaine, si l’on, excepte les mineurs & les forgerons. …
Le Harz est habité par des mineurs, par des forgerons, par des bûcherons & par des voituriers. Il y demeure aussi des employés des princes, des prédicateurs, des maîtres d’école, des artistes, des gens de métiers & des marchands. Ni les uns ni les autres ne sont sujets à l’imposition , nommée Licent, non plus qu’à la contribution; leurs charges se réduisent 1) dans les villes , à acquitter une certaine somme, connue sous le nom de Pfarrgeld, dont le montant est employé à l’entretien de l’église & à celui de l’école. …
l. Du Harz supérieur. Les mines du pays sont partagées en différents cantons, & chaque canton renferme un certain nombre de minières. Chaque minière est distribuée en un certain nombre d’actions ou parts ( Kux). Les minières donnent ou du bénéfice, ou balancent les frais, ou en exigent encore d’autres. Chaque minière à bénéfice a 130 actions, dont dans une partie du Harz il en appartient quatre au souverain, une à l’église & une à la ville, où elle est située ; mais au Harz commun supérieur 124 appartiennent aux actionnaires, 1 1/2 à l’église, 1 1/2 à la chambre des finances, & trois aux seigneurs. Une minière, qui balance les frais, con tient 128 allions, & produit tant de matières, que les dépenses requises sont compensées. Une minière dont les frais excédent le produit, contient 128 actions, dont les actionnaires entretiennent 124, & en exploitent 4 gratis pour les seigneurs.
1) Dans la partie qui appartient à la; maison électorale de Brunsvic – Lunebourg seule, sont situés les endroits ci -après :
( 1 ) Clausthal, ville ouverte de montagne, qu‘ occupe une grande étendue de terrein. Ses rues sont larges & bordées de près de 800 maisons; l’on y compte approchant 10,000 ames, & il s’y trouve deux églises, une maison d’orphelins & une école latins dirigée par 9 régents. Cette ville, dans laquelle il y aune petite garnison, est le siege du tribunal des- mines de cette partie du Harz, qui appartient à l’é lecteur en particulier; elle est le siege aussi d’une monnoyerie, dans laquelle il se fabrique annuellement 374,400 rixdales en argent & en especes courantes valeur de Leipsic. La surintendance, qui y est établie, est administrée par le surintendant général de la principauté de Grubenhagen. Les plus grands incendies que cette ville ait effuyés, sont ceux des années 1634, 1639 & 1725; le dernier des trois sut si violent, que 391 maisons, outre les bâtiments de derrière, furent réduites en cendres. Il y a près de cette ville une mine d’argent. Celles de tout le canton, dont le produit est le pius fort, sont les mines àppellées Dorothée & Caroline; la première a fourni depuis 1709 jusqu’en 1760, 2,787,893 1/3 d’écus monnoyés, & la séconde depuis 1703 jusqu’à la précédente époque 1,337,700 écus aussi monnoyés.
(2) Altenau, petite ville de montagne située dans une gorge entourée de roches & de montagnes, & près de laquelle il y a une’mine d’argent. La rivière, nommée Schneidwasser ou Scheidewasser, dont cette ville est arrosée, va se perdre dans celle d’Ocker.
(5) Montagne de St. André (St. Andreasberg), ville de montagne sur l’Oder contenant 55o maisons. La mine d’argent qui s’y trouve, a produit depuis 1537 jusqu’en 1620, 370,760 rixdales.
REMARQUÉ. L’on trouve à un mille de là, derrière la montagne, dite Rehberg, un réservoir d’eau, appellé Oderteich, qui mérite d’être remarqué. L’Oder, ainsi que différentes sources, qui s’y jèttent, entretiennent l’eau toujours à la même hauteur, & elle y eft contenue par une digue cons truite en pierres tout autour. Cette eau est con duite & distribuée dans tous les moulins à concasser là mine, & dans tous les autres endroits, où elle est nécessaire, par le moyen d’un fossé muré, long de 1,600 verges, lequel fossé tournant la montagne de Rehberg, se dirige dans un canal qui traverse la colline de St. André. Ce réservoir, qui renferme de beaux poissons & principalement de la truite, fournit de l’eau en telle abondance, que les atteliers ne chôment en aucune saison de l’année.
(4) Buntebock, petit endroit, qui n’est habité que par des charretiers.
(5) Leerbach & Sieber, villages paroissiaux.
(6) Quatres fermes.
2) Partie du Harz, qui appartient en commun à la maison électorale & à la maison princiere de Brunsvic- Lunebourg. Les endroits qui en dépendent, sont :
(1) Zellerfeld, ville de montagne ouverte, qu’une simple rivière sépare de celle de Clausthal. Cette ville est le siege du tribunal commun des mines du Harz supérieur; elle est aussi celui d’une surintendance, qui ressortit immédiatement aux consistoires de l’électeur & des ducs. La monnoie qui y est établie, leur est commune; il s’y fait annuellement en viron 200,000 écus d’empire valeur de Leipsic. Le nombre de maisons peut s’y porter à 557. Il y a une école latine & une belle bibliothèque, que Caspar Calvœr, ancien surintendant général, donna par testament à l’église paroissiale. Cette ville essuya de grands incendies en 1737 & 1753.
(2) Grund, petite ville de montagne.
(5) Wildeman, ville de montagne, située dans une vallée, qui ne commença à exister qu’en 1523 elle contient environ 300 feux, & est entourée de hautes montagnes désertes. Toute cette exploitation y a cessé.
(4.) Lautenthal, petite ville de montagne, dont l’enceinte renferme 253 maisons habitables. Il y a également une mine d’ârgent.
(5) Schoulenberg , où il y a aussï une mine d’argent; Bockwiese & Hahnenklee, petits endroits, dans le dernier desquels est une métairie, qui appartient aux princes de Brunsvic seuls.“
Abbildung: Georges-Louis Le Rouge, Mines et Forest du Hartz, Bergbaukarte der Harz-Region. Kupferstich, alt grenzkoloriert, 24,5 x 35 cm (Blatt). Aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759.
Text: Géographie Universelle, traduite de Mr. Büsching, Tome Dixieme, contenant L’Empire D ‚ Allemagne, cinquième partie, savoir: Suite du Cercle de la Haut-Saxe & du Cercle de la Basse-Saxe, les Duchés de Magdebourg, de Brunsvic & de Lunebourg, la Principauté de Halberstadt & le Duché de Mecklenbourg, Nouvelle Edition revue & corrigée, a Strassbourg, chez Jean George Treuttel, Libraire. l’an ame de la République française, (1792), S. 526ff.

1554 – Die Anfänge

Um dieselbe Zeit und im Jahr 1554. hat Hertzog Ernst zu Braunschweig / Herr zu Eimbeck und Grubenhagen beleget und wieder angefangen zu bauen das Bergwerck zur Clauß auf dem Hartz / durch welche Veranlassung die Bergstadt Clausthal / welche den Namen von der dazumal im Walde hinter und unter dem Fürstlch. Amthause um die Gegend des Sorgerteiches liegenden Clauß bekommen / erbauet worden / und den Anfang ihres itzigen / GOTT gebe noch lange Jahre beständigen Wesens und Zustandes genommen / und sind die ersten /  die alhier etwas wieder gemuthet und aufgenommen / gewesen  Valentin Fleischer und Brosius Schuster / welcher im Jahr 1536. unter Hertzog Heinrich für einen Heintzensteiger* sich gebrauchen lassen / und die alte Zeche Wildemann zum ersten gewärtiget hatte.

Es hat Herzog Ernst in selbigem Jahr die Bergwercke mit einer herrlichen Bergfreiheit angesehen und begnadet / und als er im Jahr 1567 ohne Männliche Leibes Erben diese Welt gesegnet / und ihm dessen Herr Bruder Hertzog Wolffgang in der Regierung gefolget / hat derselbe nicht allein über der gegebenen Bergfreiheit und Ordnung steif und fest gehalten / und im Jahr 1593. dieselbe erneuret / und aufs neue publiciren laffen / sondern ist auch dem Bergwerck so zugethan gewesen / daß er / da etliche Zechen / als der Rosenhof / Thurmhof / S.Anna / Gegendrum über die 8000 fl. in Schuldt gerathen/ denen Gewercken solche gnädig erlassen / damit fie nicht müde gemachet oder abgeschrecket werden mochten. Der löbliche Bergherr hat auch hierauf den Seegen Gottes alsbald wieder verspüret / und das jenige / was er erlassen / reichlich und überflüssig wieder empfangen. Es ift auch Hochgedachtem Hertzog Wolffgang nach Absterben Graff Ernsts des letzten seines Nahmens und Stammes / Grafen zu Hohnstein / Lohra und Clettenberg / im Jahr 1593. die Grafschaft Lutterberg / samt der freyen Bergstadt Andreasberg und dem Schloß und Amt Schwartzfeldt jure directi dominii als Lehnherrn wieder anheim und zugefallen. – Vor hochgedachte Hertzogen haben sich zum Clausthal vielfältig aufgehalten/ und mit Jagen ergetzet / dero Behuf ihr Ablager auf der Müntze gehabt / die denn noch bei unserm Andencken ringsum mit einem tieffen Wassergraben umgeben / und mit einer Brücke versehen gewesen. Allernechst dabei zur rechten Hand / hat dero Hofbedienter einer von Gladebeck / ein Hauß gehabt / gleich wie die von Birckenfeldt zum Buntenbock / von welchen beiden die rudera noch zu unsern Zeiten zu sehen gewesen.

Thomae Schreibers Kurtzer Historischer Bericht Von Auskunft und Anfang Der Fürstlichen Braunschweig-Lüneburgischen Bergwercke an und auf dem Hartz / derselben unterschiedlichen Fällen und Auflassung und letzten Wieder-Aufnahme. Zum Andernmal aufgelegt und vermehret. In Verlegung Bartholdt Fuhrmanns / Buchhändlers in Osterode und Northausen. Rudolstadt / Gedruckt bey Christoph Fleischern / Im Jahr 1678, S.15ff.

* Fachleute in der Hebung des Grubenwassers im Bergbau.

HEINZENKUNST, f. wasserhebemaschine des ältern bergbaues. Veith bergwörterbuch 271. vergl. Heinz 4, a sp. 890.

a) Heinz, eine wasserhebemaschine des ältern bergbaues. Veithbergwörterb. s. 271; helt er das wasser mit wasserknechten, oder hengt seine künste, pumpen, heinzen, bulgen, oder groszen zeuge.Mathes. Sar. 64a; da man bei uns mit groszen künsten, heinzen, taschhespeln, pumpen das wasser hebet oder herausz zeucht. 125b. s.heinzenkunst.

Deutsches Wörterbuch von Jacob und Wilhelm Grimm. 16 Bde. in 32 Teilbänden. Leipzig 1854-1961. Quellenverzeichnis Leipzig 1971. s. http://www.woerterbuchnetz.de