Eine kleine Stunde von Clausthal ohnweit der Landstrasse nach Osterode liegt ein Flecken, der bunte Bock genannt, in welchem größtenteils Fuhrleute wohnen, die das Holtz aus den Forsten nach den Zechen und Hütten anfahren.  Rechterhand der Landstrasse, zu Ende des Junkernfeldes liegt die Ziegelhütte, ein Wirthshaus, bey welchem der Prinzen-Teich fliesset. Gleich an diesem Wirthshause liegt der höchste Berg um Clausthal, der Heiligenstock genannt; wenn man denselben hinunter ist, kommt man an den Langenberg, an dessen Fuß linckerhand in einem tiefen Thale das Dort Lärbach lieget, in welchem Holzhauer, Köhler und Bergleute wohnen, welche letztere in den hiesigen Eisensteinsgruben arbeiten.

Die Naturgeschichte und Bergwercksverfassung des Ober-Hartzes beschrieben von Johann Friedrich Zückert. Der Artzney-Gelahrtheit Doctor. Berlin, bey Friedrich Nicolai 1762.

George-Louis Le Rouge, Mines et Forest du Hartz, Detail

George-Louis Le Rouge, Mines et Forest du Hartz, Detail

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Buntebock, mon petit endroit … mais où est Clausthal?!

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„Mines et Forest du Hartz" aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759, Kupferstich, 24,5 x 35 cm.

„Mines et Forest du Hartz“
aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759, Kupferstich, 24,5 x 35 cm.

„IV. Le Harz. Il a été dit plus haut dans l’introduction à la principauté de Grubenhagen ce qu’est le Harz, pris dans sa signification la plus étendue. Il n’est question ici que de cette partie du Harz, qui appartient à la maison électorale & princiere de Brunsvic- Lunebourg. L’air y est froid, tellement que les rigueurs de l’hiver y durent régulièrement pendant six- mois de l’année. Les brouillards y sont aussi plus fréquents, & les pluies, de même que les neiges, plus copieuses que dans le pays plat. Ceux qui y habitent, n’en atteignent pas moins un âge -aussi avancé que ceux qui demeurent dans la plaine, si l’on, excepte les mineurs & les forgerons. …
Le Harz est habité par des mineurs, par des forgerons, par des bûcherons & par des voituriers. Il y demeure aussi des employés des princes, des prédicateurs, des maîtres d’école, des artistes, des gens de métiers & des marchands. Ni les uns ni les autres ne sont sujets à l’imposition , nommée Licent, non plus qu’à la contribution; leurs charges se réduisent 1) dans les villes , à acquitter une certaine somme, connue sous le nom de Pfarrgeld, dont le montant est employé à l’entretien de l’église & à celui de l’école. …
l. Du Harz supérieur. Les mines du pays sont partagées en différents cantons, & chaque canton renferme un certain nombre de minières. Chaque minière est distribuée en un certain nombre d’actions ou parts ( Kux). Les minières donnent ou du bénéfice, ou balancent les frais, ou en exigent encore d’autres. Chaque minière à bénéfice a 130 actions, dont dans une partie du Harz il en appartient quatre au souverain, une à l’église & une à la ville, où elle est située ; mais au Harz commun supérieur 124 appartiennent aux actionnaires, 1 1/2 à l’église, 1 1/2 à la chambre des finances, & trois aux seigneurs. Une minière, qui balance les frais, con tient 128 allions, & produit tant de matières, que les dépenses requises sont compensées. Une minière dont les frais excédent le produit, contient 128 actions, dont les actionnaires entretiennent 124, & en exploitent 4 gratis pour les seigneurs.
1) Dans la partie qui appartient à la; maison électorale de Brunsvic – Lunebourg seule, sont situés les endroits ci -après :
( 1 ) Clausthal, ville ouverte de montagne, qu‘ occupe une grande étendue de terrein. Ses rues sont larges & bordées de près de 800 maisons; l’on y compte approchant 10,000 ames, & il s’y trouve deux églises, une maison d’orphelins & une école latins dirigée par 9 régents. Cette ville, dans laquelle il y aune petite garnison, est le siege du tribunal des- mines de cette partie du Harz, qui appartient à l’é lecteur en particulier; elle est le siege aussi d’une monnoyerie, dans laquelle il se fabrique annuellement 374,400 rixdales en argent & en especes courantes valeur de Leipsic. La surintendance, qui y est établie, est administrée par le surintendant général de la principauté de Grubenhagen. Les plus grands incendies que cette ville ait effuyés, sont ceux des années 1634, 1639 & 1725; le dernier des trois sut si violent, que 391 maisons, outre les bâtiments de derrière, furent réduites en cendres. Il y a près de cette ville une mine d’argent. Celles de tout le canton, dont le produit est le pius fort, sont les mines àppellées Dorothée & Caroline; la première a fourni depuis 1709 jusqu’en 1760, 2,787,893 1/3 d’écus monnoyés, & la séconde depuis 1703 jusqu’à la précédente époque 1,337,700 écus aussi monnoyés.
(2) Altenau, petite ville de montagne située dans une gorge entourée de roches & de montagnes, & près de laquelle il y a une’mine d’argent. La rivière, nommée Schneidwasser ou Scheidewasser, dont cette ville est arrosée, va se perdre dans celle d’Ocker.
(5) Montagne de St. André (St. Andreasberg), ville de montagne sur l’Oder contenant 55o maisons. La mine d’argent qui s’y trouve, a produit depuis 1537 jusqu’en 1620, 370,760 rixdales.
REMARQUÉ. L’on trouve à un mille de là, derrière la montagne, dite Rehberg, un réservoir d’eau, appellé Oderteich, qui mérite d’être remarqué. L’Oder, ainsi que différentes sources, qui s’y jèttent, entretiennent l’eau toujours à la même hauteur, & elle y eft contenue par une digue cons truite en pierres tout autour. Cette eau est con duite & distribuée dans tous les moulins à concasser là mine, & dans tous les autres endroits, où elle est nécessaire, par le moyen d’un fossé muré, long de 1,600 verges, lequel fossé tournant la montagne de Rehberg, se dirige dans un canal qui traverse la colline de St. André. Ce réservoir, qui renferme de beaux poissons & principalement de la truite, fournit de l’eau en telle abondance, que les atteliers ne chôment en aucune saison de l’année.
(4) Buntebock, petit endroit, qui n’est habité que par des charretiers.
(5) Leerbach & Sieber, villages paroissiaux.
(6) Quatres fermes.
2) Partie du Harz, qui appartient en commun à la maison électorale & à la maison princiere de Brunsvic- Lunebourg. Les endroits qui en dépendent, sont :
(1) Zellerfeld, ville de montagne ouverte, qu’une simple rivière sépare de celle de Clausthal. Cette ville est le siege du tribunal commun des mines du Harz supérieur; elle est aussi celui d’une surintendance, qui ressortit immédiatement aux consistoires de l’électeur & des ducs. La monnoie qui y est établie, leur est commune; il s’y fait annuellement en viron 200,000 écus d’empire valeur de Leipsic. Le nombre de maisons peut s’y porter à 557. Il y a une école latine & une belle bibliothèque, que Caspar Calvœr, ancien surintendant général, donna par testament à l’église paroissiale. Cette ville essuya de grands incendies en 1737 & 1753.
(2) Grund, petite ville de montagne.
(5) Wildeman, ville de montagne, située dans une vallée, qui ne commença à exister qu’en 1523 elle contient environ 300 feux, & est entourée de hautes montagnes désertes. Toute cette exploitation y a cessé.
(4.) Lautenthal, petite ville de montagne, dont l’enceinte renferme 253 maisons habitables. Il y a également une mine d’ârgent.
(5) Schoulenberg , où il y a aussï une mine d’argent; Bockwiese & Hahnenklee, petits endroits, dans le dernier desquels est une métairie, qui appartient aux princes de Brunsvic seuls.“
Abbildung: Georges-Louis Le Rouge, Mines et Forest du Hartz, Bergbaukarte der Harz-Region. Kupferstich, alt grenzkoloriert, 24,5 x 35 cm (Blatt). Aus: Georges-Louis Le Rouge, Atlas Portatif Des Militaires Et Des Voyageurs, Paris 1759.
Text: Géographie Universelle, traduite de Mr. Büsching, Tome Dixieme, contenant L’Empire D ‚ Allemagne, cinquième partie, savoir: Suite du Cercle de la Haut-Saxe & du Cercle de la Basse-Saxe, les Duchés de Magdebourg, de Brunsvic & de Lunebourg, la Principauté de Halberstadt & le Duché de Mecklenbourg, Nouvelle Edition revue & corrigée, a Strassbourg, chez Jean George Treuttel, Libraire. l’an ame de la République française, (1792), S. 526ff.

Der gemeine Harzer – für Fabrikarbeit schwer zu gewinnen

Noch gehören zum Harz: .. Die Hütten bei Uslar oder die Sollinger Eisen – und Kupferhütte, welche Erze von Lerbach und Westerhof und Roheisen von Gittelde über Moringen erhalten. Alles Silber erhält die Münze zu Klausthal, wo die 2/3 geprägt werden, die übrigen Produkte die Berghandlung gegen Baarzahlung und Materialienlieferung. Viel Blei wird in Schachtrupps Anlagen bei O st e r o d e , Eisen in der Herzberger Fabrik verbraucht; übrigens ist auf dem Harze wenig Fabrikatur. Von Eisenarbeiten liefert der Harz Töpfe, Oefen, Munition, feine Gußwaaren, Bleche und Drath; viele Nagelschmiede wohnen zu Lauterberg. Für feine Stahlwaaren scheint das meiste Harzeisen sich nicht zu eignen; zu mehreren Eisenfabriken fehlte auch das Holz. Auch möchte der gemeine Harzer für Fabrikarbeit schwer zu gewinnen seyn. Auf der Königs – und Ockerhütte werden, jetzt auch emaillirte Töpfe und Klaviersaiten gemacht; kupferne Kessel ebendaselbst und bei Uslar. Andere Erwerbzweige der Harzer sind das Fuhrwesen‘), die Viehzucht, unter deren Artikeln die Harzkäse oft weithin gesucht werden, Abrichten der Kanarienvögel, die Holzarbeiten, der Kleinhandel und das Einsammeln der Beeren. Das Spitzenkloppeln, wodurch das Erzgebürge übervölkert ist, ist auch nicht nach dem Geschmacke der Einwohner; dagegen diese auch nicht die Leiden der Hungersnoth erfahren, welche in theuern Zeiten das Erzgebürge heimsuchen. Zur Kenntniß der Hütten möge ein Auszug aus den Angaben von Villefosse, dienen.

‚) Die konzessionirten Fuhrleute werden wohl die Bergfuhrherren genannt.

Beschreibung des Königreichs Hannover von H. D. A. Sonne. Viertes Buch. Spezielle Chorographie. München, 1830. Im Verlage der literarisch-artistischen Anstalt der J. G. Cotta’schen Buchhandlung. S. 129.

SONNE (Heinrich Daniel Andreas) seit 1820 Rector am Pädagogio zu Ihlefeld (nachdem er seit 1801 – 1810 vom 5ten Lehrer bis zum Conrector aufgerückt war): geb. zu Göttingen am 26 Febr. 1780. §§. Erdbefchreibung des Königreichs Hannover, mit einer historisch – statistischen Einleitung. Sondershausen 1817. 8. — Recensionen in Seebode’s kritischer Bibliothek für das Schulwesen.

DAS GELEHRTE TEUTSCHLAND ОDER LEXICON der jetzt lebenden TEUTSCHEN SCHRIFTSTELLER. Angefangen von GEORG CHRISTOPH HAMBERGER, Professor der Gelehrten Geschichte auf der Universität zu Göttingen. Fortgesetzt von JOHANN GEORG MEUSEL, königl. Bayrischen geheimen, königl. Preuss. fürstl. Brandenburgischen und Quedlinburgischen Hofrathe, ordentl. Professor der Geschichtkunde auf der Universität zu Erlangen, und , Mitgliede einiger Akademien. Zwanzigster Band. Bearbeitet Von JOHANN WILHELM SIGISMUND LINDNER, Advocaten zu Dresden , u n d herausgegeben von JOHANN SAMUEL ERSCH,  Professor und Ober – Bibliothekar auf der Univcrsität zu Halle. Fünfte, durchaus vermehrte und verbesserte Ausgabe. Lemgo, im Verlage der Meyerschen Hof- Buchhandlung, 1825. S. 520.

Kleine Chronik der Buntenböcker Schmiede

Von Anneliese Vasel*

Daß in Buntenbock, dem ehemaligen Dorf der Fuhrleute, eine Hufschmiede existiert haben muß, setzt man als selbstverständlich voraus. Und tatsächlich wissen die meisten Einwohner auch heute noch, wo man früher die Pferde beschlagen ließ, weil der Hausname des Hauses Am Brink 10 daran erinnert.

Leider gibt es keine schriftlichen Quellen über das Gründungsdatum der Schmiede. Doch an Hand von Seelenregistern und Häuserlisten aus dem 17. und 18. Jahrhundert läßt sich annähernd berechnen, wann hier der erste Hufschmied seine Arbeit aufnahm.

In einer Kriegssteuerliste von 1623 fehlt der Hinweis auf einen Schmied noch ganz, obwohl an sonstigen Berufen schon sind: Ein Bäcker, ein Köhler, ein Holzflößer, zwei Holzhauer, fünf Fuhrleute. Auch 1676, als die Mannspersonen und das Vieh von Buntenbock gezählt werden, sucht man unter den 25 Hausbesitzern vergeblich nach einem Schmied. Erst um 1680 scheint der Ort für einen Hufschmied, der aus einer Clausthaler Familie von Schmieden stammt, interessant geworden zu sein, denn 1682 wird im Kirchenbuch in Clausthal die Heirat des Hufschmiedes Jürgen Finke mit einer Margarethe Magdalene Gärtner eingetragen.

Dieser Jürgen Finke wird dann später im Kirchenbuch anlässlich der Geburtseintragungen für seine Kinder „Hufschmied von Buntenbock“ genannt. Er wird es auch gewesen sein, der das abgebildete Schmiedegebäude gegenüber dem Wohnhaus errichtete. Es ist anzunehmen, daß das Wohnhaus schon einige Jahrzehnte früher gebaut wurde.

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Als Jürgen Finke 1722 stirbt, ist sein Sohn Michael Heinrich Finke soweit, das Schmiedehandwerk fortzuführen. Er heiratet wenige Wochen nach dem Tode des Vaters eine der fünf Töchter des Kornhändlers Hüddersen. Besitzerin des Hauses und der Schmiede aber bleibt zunächst noch die Mutter, so jedenfalls geht es aus einer Einwohnerliste von 1729 hervor.

Aus der Ehe gehen 7 Kinder hervor. Die beiden Söhne erlernen das gleiche Handwerk wie der Vater, so daß der ältere von beiden, Heinrich Adam, schon bald nach dem frühen Tod des Michael Heinrich Finke im Jahr 1746 den Betrieb übernehmen kann.

Als dann im Mai 1766 Wilhelm Friedrich von Uslar damit beginnt, auch für Buntenbock die Besitzverhältnisse der gegen Feuer versicherten Häuser im sogenannten Lagerbuch schriftlich festzuhalten, erscheint für die Schmiede ein neuer Besitzername, aber auch die Finkes bleiben nicht unerwähnt. Die Erklärung für die Namensänderung war leicht zu finden: die Heirat einer Finketochter mit einem Schmiedegesellen Johann Sigmund Ludewig.

Dieser Johann Sigmund Ludewig stammte aus Liegesitz in Schlesien, wo sein Vater schon das gleiche Handwerk ausgeübt hatte. Er heiratet 1760 Margaretha Christina Finke und erwirbt ein Jahr später die Schmiede mit Haus und 5 Gartenplätzen sowie den dazugehörigen Stall für 700 Taler von seinem Schwager Heinrich Adam Finke.

Warum der erst 32jährige Hufschmied Finke die Schmiede an den zugewanderten Ludewig verkauft hat, geht aus den Lagerbucheintragungen nicht hervor. Herauszufinden war lediglich, daß er mit seiner Familie in Buntenbock als Hausgenosse eines anderen Schwagers, des Fuhrherrn Johann Heinrich Kayser, wohnen bleibt.

Das 18. Jahrhundert gilt als Blütezeit des Dorfes Buntenbock. Daß dem tatsächlich so war, läßt sich immer wieder an Einzelschicksalen jener Zeit ablesen, so auch an den wenigen biographischen Daten, die es von Johann Sigmund Ludewig gibt. So findet man seinen Namen 1790 auch in den Lerbacher Akten als Erbauer einer Hufschmiede unterhalb der Lerbacher Mühle.

Mit dem Bau der neuen Hufschmiede in Lenbach mag er zweierlei Ziele verfolgt haben. Einmal wird er erkannt haben, daß der Bau der Lerbacher Eisenhütte einen größeren Bedarf an Fuhrwerken in Lenbach zur Folge hatte, zum anderen scheint er auch die Absicht gehabt zu haben, einem jüngeren Bruder seiner Frau eine berufliche Chance zu geben. Im Jahre 1787 findet man diesen Schmiedeburschen schon als unverheirateten Hausgenossen von 46 Jahren bei dem Lerbacher Müller Lindner eingetragen.

Die Schmiede und das Wohnhaus in Buntenbock übergibt Johann Sigmund Ludwig schon 1793 für 800 Taler an seinen Sohn Heinrich Carl Ferdinand Ludwig, der dem Vater Wohnrecht und Nahrung bis Lebensende zugestehen muß. Die kleine Schmiede in Lenbach bleibt noch im Besitz des alten Schmiedemeisters Ludwig. Erst nach dessen Tode wird sie ebenfalls dem jungen Hufschmied in Buntenbock zugeschrieben mit der Auflage, seinen Onkel Christian Finke zeitlebens Nießnutz zu gewähren.

Doch Carl Heinrich Ferdinand Ludwig stirbt früh, noch nicht 35 Jahre alt, und hinterlässt eine junge Witwe mit 5 Kindern. Nach einem Jahr Witwenschaft heiratet die junge Frau, eine geborene Hille aus Buntenbock, wieder. Der sehr viel jüngere Ehemann stammt aus der Schmiedefamilie Jürgen in Gieboldehausen. Am 15. August 1804 nimmt er „das Grundstück für den taxierten Wert“ an und muß für alle Gebäude, Wiesen und Gärten und die Schmiede in Lenbach 1500 Taler bezahlen.

Aus dieser zweiten Ehe gehen 4 Töchter hervor, von denen zwei früh versterben. Der einzige Sohn aus beiden Ehen Ernst Carl Ferdinand Ludwig wird von seinem Stiefvater auch wieder zum Schmied ausgebildet und schon 1828 überlässt Franz Jürgen dem Stiefsohn die Schmiede mit dem gesamten Zubehör, sowie einer Kuh, für 1700 Taler.

Soviel läßt sich aus den Eintragungen im Lagerbuch ablesen. Ergänzend sollte hier erwähnt werden, daß es sich bei den Kaufgeldern fast immer um Darlehen der Buschischen Stiftung, der Altenquer Knappschaftskasse oder privater Geldverleiher handelt.

Der letzte Hufschmied von Buntenbock ist dann der Sohn des Ernst Carl Ferdinand Ludwig, der 1835 Augustine Philippine Thiele aus Buntenbock geheiratet hatte, gewesen. Mit dem Tod des Schmiedes Heinrich Carl August Ludwig im Jahre 1915 stirbt auch das Handwerk der Hufschmiede in Buntenbock.

Anneliese Vasel – Sommer 1989

* Anneliese Vasel, geb. Bormann (1938 – 1991), selbst Nachfahrin einer Buntenböcker Fuhrherrenfamilie, gehörte zu den ausgewiesenen Kennerinnen der Geschichte Buntenbocks. In zahlreichen Veröffentlichungen hat sie ihr Wissen der Öffentlichkeit zugänglich gemacht. Die Publikation dieses Textes erfolgt mit freundlicher Genehmigung der Nachfahren von Anneliese Vasel. Ein herzlicher Dank an dieser Stelle!
Der  Artikel „Kleine Chronik der Buntenböcker Schmiede“ wurde erstmals veröffentlicht in: Allgemeinen Harz-Berg-Kalender für das Jahr 1990, Clausthal-Zellerfeld (Ed. Piepersche Buchdruckerei) 1989, S. 52f.

Abbildung: (c) Ernst Höhlein, Alte Schmiede Buntenbock, November 1989.

Fuhrherren, Fuhrleute, Fuhrknechte

Fuhrherren, Fuhrleute, Fuhrknechte

Buntenbock hatte in einst eine sehr zentrale und verkehrsgünstige Lage an alten Handels- und Transportstraßen wie z.B. die Alte Harzstraße und der Hundscher Weg. Von hier gut zu erreichen war der Oberharz mit der Clausthaler Hütte und den Gruben sowie den vielen am Wasser liegenden Pochwerken (Erzaufbereitungen), aber auch die Eisensteingruben um Lerbach und Osterode, deren Erz in die Eisenhütten in Osterode und an Harzrand transportiert werden musste. Außerdem musste Getreide vom Kornmagazin in Osterode auf den Oberharz gebracht werden, Holzkohle aus dem Solling herangeschafft werden und Holz aus dem Wald in die Städte und zu den Bergwerken transportiert werden…